Ma « musique »

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Après avoir quitté les animaux et la bande dessinée qui m’ont fait vivre de beaux moments et m’ont fait oublier les lâchetés de la société villageoise, c’est la musique qui a pris le relais, et la musique kabyle y occupe la plus grande partie tel qu’il me faudrait tout un livre pour parler d’elle, alors qu’ici je parlais de l’une de ses facettes, ma musique de variétés étrangères, que voici dans tous ses états, comme vous ne l’aviez jamais entendue ou imaginée, mon nirvana. J’ose une métaphore. C’est comme dans une partie de jambes en l’air : ça monte, ça monte, ça monte… jusqu’au… beuglement du mâle et aux gémissements de la femelle… Je veux dire l’orgasme, puis le repos et le sommeil des braves… Restez jusqu’ à la fin, c’est promis, vous y reviendrez souvent. 

Ma première chanson que j’ai écoutée et qui m’a séduit, n’était pas en arabe, langue nationale et officielle de mon pays, en fait un butin de guerre, ni en français, un autre butin de guerre, une langue que je maîtrise bien et aime beaucoup, c’était un audio en anglais, un 45 tours de Demis Roussos. J’étais alors en 4de collège. Mademoiselle Fatiha N***, notre prof d’anglais que j’adorais, que je salue chaleureusement ici, était amoureuse d’un certain M***. Comme j’étais un bon élève, beau et gentlil garçon, elle me demandait parfois de lui poster une lettre (d’amour) pour ce Monsieur. Elle m’appelait de la classe alors que j’étais en récréation. Souvent je la trouvais en train de rédiger le message, mais tout le temps elle passait en boucle la chanson My Reason ou Musica de Demis Roussos qu’elle nous faisait écouter en classe à l’occasion de la fin de l’année scolaire. Une fois elle m’a demandé mon avis. Une chanson enchanteresse. Quoique je fusse surpris par l’aigu de la voix, une très belle voix, dans un corps fort, poilu et un visage joufflu . Quelques années après, j’ai surpris Salah en train d’écouter en boucle cette chanson d’un 33 tour de cet artiste, échangé ou prêté, pratique en vogue alors, vu notre manque en tout. 

Puis mon père a acheté un téléviseur où j’ai vu des films d’Elvis Presley et sa célèbre chanson Tutti Frutti, en clip, très connue sous le titre Wapa Blouba . J’ai choisi ce clip en noir et blanc dans un espace sombre, car cela représente le vague souvenir que j’ai de cette scène, datant de plus de 40 ans, que j’ai vu en noir et blanc.  Surtout j’étais frappé par la beauté physique de cet Adonis, encore l’image était en noir et blanc. J’ai adoré son jeu de jambes et son déhanché qui faisaient alors vomir l’Amérique puritaine, mais envoûtaient toute la jeunesse de son pays et celle du monde entier, surtout ceux qui ont eu la chance de le voir sur scène et en face. Bien sûr, plus tard je lui ai préféré de loin la version originale de Little Richard, celle d’Elvis étant une reprise .

On dit qu’il était un chanteur pour femmes. Possible. En tout cas son public était constitué majoritairement de femmes. Peut-être, est-ce mon côté féminin qu’il avait touché ? Je suis élevé exclusivement par des femmes, en l’occurrence ma mère, ma sœur aînée, des cousines âgées et des tantes proches et lointaines. En dehors des livres, je n’avais pas reçu d’éducation de la part d’un homme, sauf leur violence et leur lâcheté. Je ne voyais mon père qu’un mois sur douze, encore pour venir de France m’interdire tout. Les hommes valides travaillaient en France, quelques-uns à Alger. Il ne restait au village, notamment dans notre quartier que les vieux et les invalides qui s’occupaient plus de leurs soucis de santé et du quotidien. Aussi curieux que cela puisse paraitre, je n’avais pas entendu parler des Beatles, pourtant aussi célèbres sinon plus qu’Elvis. En fait, je connaissais Elvis à travers la télévision dans des comédies musicales, que l’on diffusait la journée. Les variétés et les concerts, c’étaient la nuit et très peu de foyers possédaient un téléviseur.

Au sommet de son art et de sa beauté, à chacune de ses apparitions sur scène, les jeunes femmes, toutes belles, prises d’hystérie, criaient à tue-tête, se griffaient le visage tandis que d’autres perdaient connaissance. J’ai adoré son geste de la main droite pour bloquer son pied gauche, sa manière de dire que son membre dansait tout seul, comme dans un TIC (Trouble Intentionnel Compulsif). Admirez dans cet autre clip en couleur, cette entrée fracassante, son geste de la main gauche pareille à celle d’un paraplégique, et, bien sûr, sa beauté adonisienne, clip intitulé Bossa Nova Baby . Ensuite j’ai vu un concert du groupe rock n’roll kabyle Les Abranis, à la télévision, à minuit. Pourquoi ai-je cité l’heure et ce groupe qui est de mon patrimoine ? Le régime en place, mon seul ennemi jusqu’à sa chute, se démenait pour les effacer, eux qui auraient pu faire danser toute l’Afrique du Nord serait-ce en les diffusant la journée. J’ai adoré surtout leur chanson Chnigh l’blues. Hélas ! je n’ai pas trouvé dans YouTube de clip fidèle à la version originale ; tous ont été remaniés. Par contre, l’audio, je suis tombé sur un de bonne qualité. Juste une remarque sur Karim l’interprète. Pour ceux qui ont vu le groupe sur scène ou en vidéo, on aurait remarqué que sa voix était « horrible » de par sa puissance et ses veines du cou qui gonflaient, d’autant que les répétitions et les hiatus sont légion notamment dans cte chanson. Mais cela est rien devant l’œuvre d’art. Par contre, ce qui n’est pas de l’art, c’est la domination des paroles engagées et tristes dans une musique rythmée comme c’est le cas chez la plupart des chanteurs kabyles. Cette chanson est un chef-d’œuvre, est dédiée à la jeunesse : une musique endiablée, rythmée, des paroles légères et joyeuses. Concentrez-vous sur la fin du dernier refrain, juste un instrumental avec la guitare électrique, 1 mn de pur bonheur, séquence entre 3:07 et 4:07, du rock kabyle pur et dur .

Dès lors, je comptais devenir chanteur moderne, en utilisant beaucoup plus la guitare électrique, l’accompagnement et les arpèges. J’écoutais alors tous les chanteurs et les groupes modernes kabyles, au moins une trentaine. Je tiens à saluer Tacfarinas pour avoir donné un nom, Yal, pour son genre musical, le premier et le dernier à l’avoir fait pour la chandon kabyle, une appellation qui ne veut rien dire. Sans omettre le grand succès de son premier album, Yalala, juste après avoir quitté le groupe Agraw, à la musique belle et rythmée, mais aux paroles, hélas, triste ! Beaucoup d’entre eux ont participé à des festivals de la chanson moderne et ont gagné des titres au dam du régime, le tout en solo : Idir en Europe, Les Abranis au Maroc, Madjid Soula en Russie, Tackfarinas en Afrique du Sud dont l’orchestre a impressionné Michael Jackson. Sans l’arabisme qui les a confinés à la Kabylie, les excluant de la télévision et de la scène nationale, ils auraient eu des populations de fans dans la seule Afrique du Nord.

Bref. Puis c’était Staying live des Bee Gees, le groupe australien dont j’ai connu le nom à travers le film intitulé La fièvre du samedi soir, joué par John Travolta, un acteur très connu à l’instar de James Dean.  Curieux, j’ai vu le film à la caserne pendant mon service militaire 1980-1982, à Alger. À voir absolument. Troglodytes de Kabylie et du monde dit arabe, ce film est tourné par des pédés pour des pédés, une communauté sociable, humaine, intelligente et sensible, qui est un exemple de respect des lois et de l’autre, contraire de vous qui vivraient éternellement dans une jungle, car, quel que soit la sociabilité de votre milieu, vous en ferez un enfer. Voici donc un extrait de la fin du film en version originale, avec la chanson de la seconde version de 1983 . Je ne peux manquer la chanson du film indien, un drame musical, qui m’a marqué le plus, Aa Gale Lag Jaa, connu Janitou, Yajanini, Manitou, Ya Manini, arrivé pile à mes dix-huit ans et en plein coup de foudre pour une citadine, moi le montagnard, elle ressemblant beaucoup à l’actrice, moi à Shashi Kapoor l’acteur, une relation qui a fini dans une impasse .

Depuis, j’étais plus branché à la variété anglophone plutôt que française malgré que je n’y comprisse pas grand-chose. Alors qu’il y avait un téléviseur à la maison, je préférais aller voir en groupe, avec les éternels frères Korso (Salah et Belaid), rejoints par Khider et Hanafi, deux gentils garçons, dans un café du village voisin, Djemâa Saharidj, la nuit puisque la télévision diffusait les variétés après le journal de 23H, parfois à minuit, au risque d’être pris en chasse par les voyous du quartier Hlaoua. C’est à ce moment-là que des villageois m’ont collé l’étiquette de danseur et racontaient qu’une fois, je suis monté sur le comptoir d’un café de ce village et dansé au rythme des chansons, ce qui est impossible à ce jour. Certes, parfois, au village ou ailleurs, je dansais un peu le rock, un simple jeu de jambes ; Zohra, une fille du village, me surnommait Bablouma (qui veut dire en arabe la porte de la nation, mais qui était le Wapa Blouba de Tutti Frutti d’Elvis, que je chantais en même temps, à ma manière, dont voici tout le refrain : Wa bablouma, boum boum, ker ker, awlouri, tourfouri, etc). Je crois que si Elvis m’avait entendu, il… La danse ne me disait rien en dehors du fait que je l’appréciais énormément. Je pensais que c’était pour épater ou draguer les filles et en Kabylie, justement, un garçon qui danse était alors très mal vu d’autant que c’était les filles qui dansaient pour nous épater, et quelle danse ! une danse du bassin et des fesses, plutôt une danse érotique… Encore, on devait juste mater, rien d’autre, ou le faire en toute discrétion, sous peine de le payer cher. Ce mix de danse de femmes kabyles vous donnera une idée .

Cette danse est développée ailleurs, en Afrique noire et dans les îles océaniques. Je n’inclus pas la danse des Orientales, dite du ventre, auxquelles je ne trouve rien d’artistique. Il suffit d’enlever les habits déjà très légers et l’on aura du strip-tease. Chez les danseuses kabyles, je parle du clip, bien qu’elles fussent des « professionnelles », on peut lire la pudeur sur leur visage. Cette pudeur n’était pas choisie ; des tas d’yeux leur imposaient des barrières, à commencer par les leurs, notamment les mâles. Dans cet autre clip, c’est l’homme, Assalas, professeur de cette danse, qui donne l’exemple et j’ai rarement vu de femmes danser aussi bien . On peut dire que je suis sorti du moule villageois très jeune, avant de devenir anticonformiste puis rebelle et écrivain (engagé). Ces liens vers d’autres clips qui ont marqué ma jeunesse :

T’okay, Ottawan, version française, invités chez Patrick Sébastien, à son émission Le Plus Gand Cabaret du Monde .

Celebration de Kool & The Gang .

I just call to see I love you de Stévie Wonder .

Carless Wispers de George Michael .

The boxer de Simon and Garfinkel .

Chequitita du groupe Abba .

Bensonhurts Blues d’Oscar Benton .

En parallèle, je ne pouvais me passer de la chanson française  :

Ne me quitte pas de Jack Brel, où Brel quand il « viechante », un terme de moi, qui veut dire qu’il vit et chante au même temps, la technique utilisée par l’Actors Studios, la fameuse école d’art dramatique américaine qui consiste à vivre son rôle avec ses souvenirs et ses émotions .

Non, je ne regrette rien de Piaf, la sublime .

La version de Marion Cotillard n’est pas mal non plus, surtout avec son rôle de sosie qui rend hommâge à une ancêtre ayant une même origine kabyle qu’elle .

Elle est d’ailleurs de Pierre Bachelet .

L’été indien de Joe Dassin .

Bravo, tu as gagné de Mireille Mathieu, version que j’aime, chanson du groupe Abba The winner takes all it .

Bien sûr, la version originale d’Abba est sublime .

Berbère et africaine, des musiques qui me donnent la chair de poule :

Cette chanson est classée thérapeutique, dont l’un des grands chantres est feue Athman Bali, le Targui algérien, médecin de profession, que je n’ai pu résister pour vous la faire connaître à travers Timidine, de Tisalawine, une pépite .

Jammu Africa d’Ismaelo .

Je me suis arrêté au jazz cool, qui fait penser tout de suite à Louis Armstrong, un des piliers, une musique de la communauté noire américaine. J’étais séduit par le saxophone, dont le son ressemblait, certes, de loin, à celui de la flûte des bergers de Kabylie, le son que j’ai tété. Mais, avec le jazz, j’ai l’impression d’entendre les complaintes des esclaves des plantations de cette communauté toujours victime du racisme de certains Blancs. Le morceau qui suivra me donne des frissons.  C’est pour vous dire mon attachement à ce genre de musique et à cet instrument, ici un mini-saxo-phone . Ce n’était pas la musique que je cherchais, je voulais une musique sans parole qui donnerait cours à mon intérieur de garçon sensible et refoulé. Le jazz me faisait grincer des dents…

Grâce à Internet, j’ai connu la musique classique à travers André Rieu, un grand vulgarisateur de ce genre, à travers son album Bal à Vienne. Avant lui, pour écouter cette musique, il faut aller dans une salle dédiée. André Rieu l’a sortie des concerts et salles pour riches, pour le ciel ouvert, les places publiques, les stades, toujours affichés complet. J’ai beaucoup apprécié cette musique qui me permettait de voguer… Hélas, cette elle me semblait trop élaborée, me faisait croire que je devais grandir avec un piano et un violon pour l’apprécier davantage !

En fait, je venais de découvrir la musique de l’Amérique du Sud à travers l’ocarina, un instrument à vent, une sorte de flûte kabyle, mais en amélioré. Comme j’adore le son de la flûte, que j’associe aux montagnes, aux ruisseaux, à la verdure, le paysage de mon enfance, ces chants ont bouleversé mon goût pour la musique. Les deux versions du chant sud-américain intitulé Le berger solitaire de Gheorghe Zamfir, orchestre dirigé par André Rieu Ci-après la version originale de Leo Rojas, que je préfère de loin Deux versions du chant intitulé Le dernier des Mohicans ; James Fenimore Cooper en avait écrit un roman, adapté au cinéma par Michael Mann, à lire et à voir, plein d’émotions, surtout le film pour ceux qui ne sont pas sensibles à l’écriture. Voici une version avec l’orchestre dirigé par Trevor Jones . Evidemment, comme je suis fan des originales, celle d’Alexandro Querevalù est époustouflante J’adore cette version en solo dans la rue. Elle me rappelle la tragédie que vivent les peuples autochtones de l’Amérique, exterminés ou dénaturés au nom du christianisme et de l’espagnol et de l’anglais, tout comme l’Afrique du Nord au nom de l’islam et de l’arabe. J’y voyais la fin d’un peuple que nous avons tous tué par notre silence, en fait, la pire des complicités, celle qu’on accuse de faire plus de mal que les coupables. Je ne vous cache pas que je suis épris de cette musique, je l’utilise pour la relaxation. J’ai toujours sous l’oreiller un morceau, clip ou audio dont je n’écoute que la musique, en mettant le volume au minimum, en toile de fond. Je crois aussi que j’ai retrouvé, grâce à cette musique, mon ancien amour pour la flûte, le chant du berger de ma génération dont moi l’un d’eux, le chant du berger de nos contes et des paysages féeriques de la Kabylie. C’est l’un des deux tout premiers sons que j’avais écoutés jusqu’à la fin de mon adolescence. À cette époque nous n’avions ni télévision, ni radio, ni instrument de musique, des choses inaccessibles aux villageois. J’en ai fabriqué deux ou trois flûtes en bois et en ai joué à ma manière, du n’importe quoi, faute d’une école ou d’un aidant, avant d’abandonner à cause de l’oubli par tous de cet instrument. Ce bel instrument a disparu du chant artistique de Kabylie dès l’apparition de la guitare vers la fin des années soixante. Le seul chez qui je l’ai entendu, est feue Idir, le célèbre artiste, auteur de Vava Inouva, chanson traduite dans plusieurs langues, un usage limité par apport à son répertoire. Je ne dis pas que les autres ne l’avaient pas utilisée. Aujourd’hui, j’en ai acheté deux flûtes en ivoire, de conservatoire, que je voulais offrir en remerciement aux deux joueurs de cet instrument, dont un de mon village, un cousin aîné, Omar Kherroub, berger comme nous tous pendant notre enfance et notre adolescence. Jouant de la flûte à toutes les occasions des fêtes du village quand on daignait l’inviter, il le mérite bien. Voici un clip de ces deux sons qui vibrent toujours en mon intérieur quel que soit le nouveau son qui me séduit : le deuxième étant celui du bendir, instrument à percussion.

Cependant, peut-être une épine sous le pied, je n’ai jamais pu adopter le rap et la techno et je ne peux vous en fournir l’explication. Plutôt, je ne les vois pas comme une musique,  de l’art, mais comme les signes de la fin de la msuique… J’entends déjà des voix me reprocher de n’avoir inclus les Beatles, les Rolling Stones, Pink Floyd, des groupes qui ont marqué leur époque, mon époque aussi ; Bruce Spring Sting, Bob Marley et tant d’autres, surtout le monument Bob Dylan, le seul poète qui a décroché le prix Nobel de littérature. Je n’ai pas inclus non plus le monument Georges Brassens et bien des sommités françaises. Ils n’étaient venus qu’après ! Maintenant, c’est chose faite. Je ne vous donne pas de lien sur leurs tubes, car ils en ont beaucoup que j’adore et moi je pense que je veux me limiter à ceux qui ont marqué mon adolescence et ma jeunesse d’autant que j’ai déjà trop prolongé la liste.

 Je ne peux terminer sans mon meilleur morceau préféré, la pépite des pépites, le nirvana, qui n’est pas de la musique mais juste un concentré d’ondes vibratoires. Comme nous sommes fait d’ondes électromagnétiques et sommes liés à l’univers pour peu que l’on s’y mette, plutôt que de nous accrocher au matériel ou aux mythes, elle agit en profondeur sur notre état général. Cette découverte est récente. On a réuni trente sujets de tous les âges, beaucoup de personnes âgées qui souffraient de stress, de douleurs articulaires, de nervosité et de passages dépressifs, et on leur faisait écouter dix minutes de ce morceau chaque jour pendant un mois, sous encéphalogramme pour mesurer leur état primitif et les changements opérés par l’instrumental. Les premiers jours on a remarqué une diminution moindre du stress, de la nervosité et des douleurs superficielles. Au bout du mois, tout a disparu dans l’ordre de quatre-vingt pour cent. Je confirme les résultats.Utilisez donc ce morceau le soir pour dormir. Mais il faut lâcher prise, quitte à prendre un calmant naturel, une tisane, au début puis l’on aura plus besoin. Jouez le morceau en fond musical, volume très bas, faites le vide puis concentrez-vous sur l’espace sidéral, ce vide infini, cette éternité… .