Pour info

L’idée de la création de ce site datait de la moitié de l’année 2000, inspirée par l’angoisse que mes œuvres littéraires ne soient pas publiées ou moisissent quelque part recouvertes de poussière dans un coin inaccessible ou oublié. Je vivais alors dans un ghetto plutôt qu’un pays. À cette époque, je ne voulais en informer personne, pas même mes proches, pour maintes raisons trop longues, voire inutiles, à citer ici, que je résume en ceci : le règne de la terreur d’alors me poussait à cacher tout ce que je faisais. J’avais d’ailleurs souffert de la paranoïa de journaliste du temps de la décennie noire (Algérie) puisque les terrorismes, islamiste, étatique et tant d’autres, qui avaient fait des hommes de plume une cible à abattre. Pis, l’autorité (étatique) s’était tellement effritée que la lâcheté montrait des crocs à chaque coin de rue contre tout ce qui sentait juste et bon ; je ne sortais de chez moi que pour un besoin pressant, ou le soir pour changer d’air, tout en me méfiant de tout et de rien. Je consultais un psy qui me gavait de sédatifs nerveux, à juste titre…

Curieusement, c’étaient les années d’une inspiration prolifique, qui m’ont procuré des plaisirs intenses, durant lesquelles j’avais rédigé plusieurs manuscrits de différents genres, dont vous trouverez les canevas dans la rubrique MES ECRITS. Puis c’était le désert total, depuis 2006, qui s’est aggravé depuis que je vis en France de 2014 à ce jour, la période d’avant la décision de créer ce site.

Aujourd’hui, créer ce site à cet effet n’est plus d’actualité. Cependant, comme mes écrits sont tous des pierres pour la réhabilitation et la valorisation de la dimension berbère (identité, langue, culture et civilisation), le site est devenu une priorité, d’où son nom de domaine TPAMA qui veut dire Touche Pas À Mes Ancêtres. J’en veux aussi une vitrine pour mes autres projets et idées. Je compte y cristalliser un lectorat puis le fidéliser, récupérer celui que j’avais au pays et perdu depuis, quelques centaines de lecteurs, disons la moitié des exemplaires que j’ai vendus de Jugurtha est de retour édité à mon compte. J’y ferais aussi un havre de tout ce que je ne peux pas publier sous forme d’œuvre. Je ne vais pas me limiter à cela ; nous ferons en sorte qu’il brille de mille et une lueurs…

Nota Ben
Comme j’ai utilisé beaucoup Internet et que mes sources sont toutes des liens, si l’un d’eux ne fonctionne pas ou que son contenu ne s’affiche pas ou est supprimé, je vous prie, tout en vous remerciant, de m’en informer à travers le lien CONTACT affiché en pied de page. Pour l’instant, je manque d’espace de stockage pour les fichiers volumineux, en exemple les vidéos, que je ne peux sauvegarder dans la bibliothèque pour ne pas alourdir le site et faire fuir mes chers lecteurs et les nobles visiteurs, un souci auquel je remédierai à l’avenir